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La maternité de substitution est interdite dans de nombreux pays, dont la France. Cependant, certains pays comme la Belgique, l'Ukraine ou le Canada permettent cette pratique sous certaines conditions. Cet article explore les destinations légales pour ceux qui cherchent à agrandir leur famille grâce à une mère porteuse.

L'intérêt pour la GPA au Canada continue d'émerger parmi les personnes sans enfants à travers le monde. On explique cela par la possibilité d’obtenir la nationalité canadienne et par le caractère non commercial de la maternité de substitution. Les gens avec un budget limité le trouvent comme une possibilité pour économiser les honoraires de la mère porteuse. 

Les couples sans enfant et les célibataires qui sont obligés de recourir aux technologies de procréation assistée pour obtenir de l'aide souhaitent recevoir des services de haute qualité à un prix raisonnable sans problème de légalisation de leur enfant à naître dans le pays de leur citoyenneté.

Au Canada, une très bonne attitude à l’égard du don d’ovules a été créée grâce au travail des médias, qui abordent ces questions de manière purement positive pour le grand public.

Un grand nombre de banques de donneuses d'ovules congelés au Canada ont récemment intensifié leurs activités. Leur apparition est une conséquence de l'évolution des schémas de comportement en matière de procréation. Les femmes reportent la naissance d'un enfant à une date ultérieure afin de favoriser la croissance de carrière, le développement personnel et la réalisation du bien-être financier. La congélation des ovocytes permet de les conserver pendant de nombreuses années et l'évolution de médicaments peut assurer la grossesse d'une femme même à un âge mûr.

Les couples ayant des problèmes d'accouchement envisagent, entre autres, les services de substitution au Canada. L'intérêt est compréhensible: un enfant né dans ce pays a droit à la citoyenneté. Mais il y a un certain nombre de difficultés qu'il faut connaître à l'avance.